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Page daccueil Les Chroniques de Cybérie
Le mardi 8 mai 2001

Salutations à tous les Cybériens et Cybériennes!

Cette Chronique n'est optimisée ni pour Netscape, ni pour Internet Explorer, elle l'est pour ses lecteurs et lectrices.

Cette semaine...

  Bienvenue au Web sémantique
C'est du 1er au 5 mai que se déroulait à Honk Kong la Dixième conférence internationale annuelle du World Wide Web. 
Dixième conférence
L'événement aura permis de faire le point sur le chemin parcouru depuis 1989, année qui vit Tim Berners-Lee mettre au point le protocole hypermédia, suivi en 1990 par le premier logiciel fureteur. 

C'est d'ailleurs à Berners-Lee, maintenant directeur de la section de gestion du Consortium W3, que revenait l'honneur de prononcer le discours inaugural de la conférence de Hong Kong.  Selon lui, le Web a transformé une partie de notre monde, créé un nouvel espace, et engendré un cycle économique gravitant autour de lui.  Il reste cependant bon nombre de questions à résoudre, tant sur le plan de la technique que des incidences sur la société.  Par exemple, les nouvelles interfaces humain/machine introduisent-elles des changements fondamentaux ou ne font-elles que reprendre des modèles traditionnels, mais en accéléré? Chose certaine, le Web de demain sera très différent de celui que l'on connaît aujourd'hui.

Berners-Lee a profité de l'occasion pour annoncer officiellement la recommandation, par le Consortium W3, des schémas XML (eXtensible Markup Language), un méta-langage à balises de structuration où chaque balise correspond à un élément qui peut être présent une ou plusieurs fois dans un document.  Mais, contrairement au HTML, le nom des balises n'est pas soumis à une norme car il est défini par le programmeur.  L'échange entre diverses plate-formes et applications sera facilité car un document en XML contient une définition du type de document (DTD) qui est lue par le processeur XML avant son contenu pour valider la structure de ce dernier.

Il a aussi été question à la Conférence d'un nouvel axe de recherche pour les scientifiques du réseau, celui du «Web sémantique», c'est-à-dire la définition et la création de liens entre diverses informations sur le Web, non seulement de manière à ce qu'elles puissent être interprétées et affichées par les systèmes ordinés, mais aussi pour que ces systèmes puissent automatiser des tâches, intégrer et réutiliser ces informations dans diverses applications grâce à un système de définition de ressources (Resource Description Framework - RDF).

Concernant le Web sémantique, le mensuel Scientific American publie ce mois-ci (mai) un article de Berners-Lee, James Hendler (recherche sur l'informatique axée agent à la Defense Advanced Research Projects Agency - DARPA) et Ora Lassila (chercheur chez Nokia et membre du conseil de direction du Consortium W3).  De l'article, citons le passage suivant : «Le Web sémantique n'est pas un Web distinct mais bien un prolongement du Web que l'on connaît et dans lequel on attribue à l'information une signification clairement définie, ce qui permet aux ordinateurs et aux humains de travailler en plus étroite collaboration.  Les premières étapes de la mise en place du Web sémantique sont déjà franchies.  Très bientôt, ces développements permettront une nouvelle fonctionnalité car les ordinateurs seront davantage en mesure de traiter et de “comprendre” les données que, pour l'instant, ils ne font qu'afficher.»

L'idée du Web sémantique n'est pas tout à fait nouvelle.  Berners-Lee en traçait les grandes lignes en 1998 dans un document intitulé «Semantic Web Road Map», et dans plusieurs documents publiés depuis. 
Weaving the Web
Il traitait aussi de la question dans son livre «Weaving the Web» (écrit en collaboration avec Mark Fischetti) dont nous vous parlions en octobre 1999, puis aussi en octobre 2000 dans une entrevue accordée au Guardian de Londres que nous vous relations.  Le créateur du Web est donc en train d'assurer son prolongement, ce qui n'est pas peu dire.  Dans l'entrevue au Guardian, Berners-Lee répondait à une question sur l'avenir du Web.  «Un Web sémantique...  un nouveau réseau plus puissant, plus interactif qui permettra vraiment au commerce électronique et aux autres activités en ligne de décoller.  Mais je ne veux pas en dire plus, sinon tout le monde va venir sauter dedans à pieds joints et tout gâcher...». 

En fait, si on perçoit déjà les avantages d'un Web sémantique, reste à voir comment s'articulera sa mise en place qui nécessitera, une fois pour toutes, l'adoption de normes universelles.

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  Cinéma : entente de principe et Internet
L'industrie cinématographique américaine retenait son souffle alors que les scénaristes membres de la Writer's Guild of America (WGA) négociaient avec les représentants de l'Alliance of Motion Picture and Television Producers (AMPTP) qui regroupe 350 maisons de production de contenu cinématographique et télévisuel.  Les plus importantes chaînes de télévision (CBS, NBC, ABC) s'étaient jointes à l'AMPTP pour la négociation d'un nouveau contrat pour les 11 000 scénaristes de la WGA.

Vendredi dernier, au terme d'un marathon de négociations, les parties annonçaient une entente de principe de trois ans qui doit, toutefois, être entérinée au cours des prochaines semaines par l'ensemble des membres de la WGA. 

Selon le communiqué conjoint émis par les parties, les scénaristes auront fait des gains importants sur les droits de reproduction et de rediffusion de leurs oeuvres, y compris les adaptations et rediffusions à l'étranger.  De l'avis des porte-parole, outre des clauses en litige depuis près de quatre ans, il s'agissait de négociations rendues complexes par la popularité croissante des nouveaux médias qui, peut-on en conclure, ont atteint une masse critique sur le plan économique.

Par exemple, les scénaristes recevront dorénavant un forfait minimum pour leurs oeuvres reprises, adaptées ou traduites et diffusées en format DVD, format qui échappait aux conventions précédentes.  De plus, les scénaristes toucheront 1,2 % des revenus générés par leurs oeuvres qui sont diffusées sur Internet ou par l'entremises de systèmes de vidéo sur demande.

Autre première, l'entente prévoit l'embauche (avec clauses normatives) de membres de la WGA pour la production de contenus spécifiquement pour Internet.  En cas de reprise dans un autre médium qu'Internet, ou encore si ces contenus servent de canevas à une série télévisée ou à un film, les scénaristes auront droit à des cachets distincts.

Mais tout n'est pas réglé pour autant dans l'univers du cinéma étasunien.  La Screen Actors Guild (SAG) et la American Federation of Television and Radio Artists (AFTRA) sont aussi en négociation avec les producteurs et diffuseurs.  Les deux organismes, dont la date butoir des négociations qu'ils mènent avec les producteurs et diffuseurs est fixée au 1er juillet, ont émis un communiqué teinté de prudence à l'annonce de l'entente de principe conclue avec les scénaristes.  On dit vouloir examiner attentivement l'entente afin de déterminer quelles clauses pourraient s'appliquer aux acteurs, mais on se dit confiant tout en soulignant la volonté d'éviter une grève qui paralyserait la production.

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  Wired accusé de sexisme
Depuis des années, le mensuel Wired est une véritable bible pour ceux et celles qui suivent l'évolution de la technologie et des réseaux et de ses incidences sociales.  Mais le numéro de mai a vibré en falsetto et son éditeur à dû essuyer nombre de critiques en raison de sa couverture.

L'article principal ce mois-ci, intitulé «The Future Will Be Fast But Not Free», porte sur les services à haut débit, et la constitution d'un modèle économique viable pour Internet.  L'auteur, Charles Platt, soumet que le déploiement à grande échelle des services d'accès à haut débit modifiera profondément l'offre de contenus plus riches, plus diversifiés, des contenus pour lesquels les utilisateurs n'hésiteront pas à payer.

Pour illustrer le propos, Wired a choisi de mettre en page couverture l'image d'une femme blonde fumant une cigarette, recouverte d'un drap, et à qui ont fait dire à l'aide d'une bulle «Dorénavant, tu dois payer» (From now on, you've gotta pay). 
Wired
Ce qui aurait pu passer, à la rigueur, pour une blague de mauvais goût et une pointe d'humour douteux n'est pas passé inaperçu par la direction de GraceNet, un organisme américain qui milite pour la reconnaissance de la contribution des femmes dans le secteur technologique.  GraceNet s'attaque également à la publicité de sociétés du secteur des technologies qui exploitent l'image de la femme et, à cet égard, remet chaque mois ses «DisGraceful Awards».

Wired s'est donc mérité le DisGraceful Award de mai 2001.  Outre l'illustration controversée, GraceNet reproche à Wired le jeu de mot facile qui, par analogie, associe l'expression anglaise «broadband» (large bande) au mot «broad» (en argot américain, gonzesse).  Selon Sylvia Paull, fondatrice de GraceNet, «Il semble que la rédaction de Wired suppose que son lectorat sera toujours attiré par le sexe, même si leur enthousiasme pour le haut débit puisse faire défaut.  Cette couverture est une insulte aux lecteurs masculins tant qu'aux lectrices de Wired, s'il en reste encore après ce numéro.»

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  Droits de la personne : élections à l'ONU
Une première : les États-Unis ne font plus partie de la Commission des droits de la personne des Nations Unies.  Jeudi dernier, 3 mai, et coïncidant avec la Journée internationale de la liberté de la presse,
Journée mondiale de la liberté de la presse
quatre pays occidentaux étaient en lice pour combler trois postes au sein de la Commission qui compte 53 membres.  Par vote secret, les membres du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) ont voté pour la France (52 votes), l'Autriche (41) et la Suède (32).  Les États-Unis, n'ayant recueilli que 29 votes, ont donc été exclus de la Commission.

Par contre, d'autres pays ont été élus en fonction de la représentativité régionale à la Commission : le Sierra Leone, le Soudan, le Togo, l'Ouganda, Bahreïn, le Pakistan, la République de Corée, l'Arménie, la Croatie, le Chili et le Mexique.  Ces pays viennent rejoindre d'autres membres comme la Syrie, l'Algérie, la Lybie, l'Arabie Saoudite et le Viêtnam.

Or, entre autres, le Sierra Leone, le Soudan, l'Algérie, le Mexique, le Chili, la Corée du Nord, le Viêtnam, la Syrie, le Pakistan ont tous été dénoncés par l'organisme Reporters sans frontières (RSF), dans son rapport «Les ennemis d'Internet»,
Les ennemis d'Internet
comme des États qui brimaient le développement d'Internet, tentaient de censurer les contenus, s'érigeaient contre la liberté d'expression.  On lit dans ce rapport : «À ce jour, aucun État ne parvient à contrôler réellement Internet.  Mais la course technologique effrénée que se livrent les “ennemis d'Internet” et ceux qui combattent pour la liberté du réseau est permanente.  L'issue de cette guérilla technologique n'est pas acquise.»

Donc, si l'équation voulant que la liberté de s'informer librement fait partie des droits de la personne, et qu'elle repose sur la liberté des journalistes d'informer librement le public et de ce même public de s'exprimer librement, doit-on être rassuré de la présence de ces États au sein de la Commission des droits de la personne?

Et encore, on ne parle ici que des droits liés à l'expression.  La plupart de ces pays sont également dénoncés par Amnistie Internationale pour leurs violations répétées d'autres droits.

Pour Joanna Weschler, porte-parole de l'organisme Human Rights Watch sur les questions onusiennes, ça en est presque loufoque : «Les antécédents d'un pays en matière de respect des droits de la personne devrait être le critère primordial pour qu'il soit membre de la Commission.  Un pays coupable d'abus des droits ne peut honnêtement se prononcer sur les agissements d'autres pays en cette matière.»

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  Sommet de Québec : Jaggi Singh libéré, et que cherchait le FBI?
Hier, 7 mai, le juge Laurent Dubé de la Cour du Québec ordonnait la libération du militant Jaggi Singh moyennant une caution de 3 000 $ en attendant son procès qui débutera le 4 juin.  Selon La Presse, le juge a déclaré : «Nous ne sommes pas encore au procès, a affirmé hier le juge Dubé.  Un jour, l'accusé subira un procès juste et équitable.  Mon rôle n'est pas de punir mais de prévenir, et je dois me demander si sa détention est nécessaire pour la protection de la société.» D'ici là, Singh pourra s'il le souhaite participer à des manifestations, mais devra garder la paix, s'éloigner s'il y a débordement, et ne pas utiliser un porte-voix pour s'adresser aux manifestants.  Singh s'est élevé contre cette condition qui, dit-il, brime sa liberté d'expression et a déclaré vouloir la contester, quitte à porter l'affaire en Cour suprême.  C'est donc un procès qui promet. 

Avant la libération de Jaggi Singh, circulait sur le Web une pétition adressée au ministre québécois de la Justice Paul Bégin pour réclamer «une révision judiciaire immédiate de la décision de refuser la remise en liberté sous caution de Monsieur Jaggi Singh et que la présomption d'innocence, un principe fondamental reconnu par la Charte des droits de la personne et une valeur de notre système démocratique, soit respectée et appliquée.»
Pétition
Cette pétition circulait sur le Web en anglais et en français (sans interface de signature, fracture numérique oblige).  Plus de 6 000 personnes l'ont signée, dont Warren Allmand, ex-Solliciteur général du Canada, Ed Broadbent, ancien chef du Nouveau Parti Démocratique (NPD), Alexa McDonough, chef actuelle du NPD, Noam Chomsky, auteur, chercheur et écrivain, Françoise David, présidente de la Fédération des Femmes du Québec (FFQ), Stephen Lewis, ancien ambassadeur canadien aux Nations Unies, Monique Richard, présidente de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), et David Suzuki, chercheur et scientifique.

Une autre retombée du Sommet de Québec est la perquisition dont fut l'objet le Independent Media Center (IMC) de Seattle le 21 avril vers 19 heures.  L'IMC de Seatlle, fondé lors des événements de 1999 dans cette ville, est le point de convergence de plusieurs centres des médias indépendants à travers le monde.  Le vendredi, 20 avril, des documents contenant les plans de sécurité policière sont volés d'un véhicule de police au cours d'une manifestation.  Quelques heures plus tard, ils sont disponibles sur le site Web du Centre des médias alternatifs de Québec (CMAQ), et en traduction anglaise sur le site de l'IMC de Seattle (document 1, document 2).  Mauvaise nouvelle pour les groupes militants : à la lecture des documents, il est clair qu'ils ont été infiltrés par des informateurs.

Le samedi 21 avril, vers 19 h 00 heure locale, deux agents du FBI accompagnés d'un agent des Services secrets se présentent aux bureaux de l'IMC de Seattle.  Ils sont porteurs d'un mandat exigeant que l'IMC leur remette le fichier journal du serveur contenant tous les détails des connexions d'utilisateurs pour les dernières 48 heures, et disent aux responsables présents que des documents contenant l'itinéraire secret du président Bush sont diffusés depuis le site.  Cette dernière information se révèle fausse, mais les agents cherchent à retracer l'identité de la personne qui a porté ces documents dans le fonds collectif d'articles de l'IMC.  Le mandat contient aussi une interdiction, pour l'IMC, de rendre publique la perquisition et tout détail s'y rapportant.

Comme les serveurs qui hébergent le site de l'IMC ne se trouvent pas dans ses bureaux, les responsables du Centre ne peuvent remettre le fichier journal aux agents qui repartent bredouille, sans même exiger le retrait du site des deux documents.  Le 27 avril, la même juge qui avait signé le mandat de perquisition levait l'imposition de la consigne du silence imposée à l'IMC de Seattle sur l'affaire.  Malgré l'interdiction de publication, la nouvelle s'était cependant répandue dans la presse traditionnelle et alternative.

L'Electronic Frontier Foundation (EFF) et le Electronic Privacy Information Center entendent se joindre à IMC de Seattle pour protester contre ce qu'ils qualifient une «expédition de pêche» et une tentative d'intimidation menée contre un organe de presse, et surtout l'imposition de l'interdiction de publication sur les événements.

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  En bref : la cyberguerre fait des dégâts, le Pentagone continue d'écopper, le FBI déplore le manque de collaboration
Nous vous parlions la semaine dernière de possibilités d'attaques de hackers chinois contre des systèmes informatiques situés aux États-Unis.  Le USA Today rapporte que le site de la Maison Blanche a été victime de ce qu'il semble être une attaque de déni de service qui, durant six heures vendredi dernier, a considérablement ralenti les serveurs et perturbé le courrier électronique.  Les enquêteurs n'ont pas révélé l'origine de cette attaque.  Mais d'autres cibles ont été touchées au cours de la dernière semaine d'hostilités, environ 600 aux États-Unis selon un expert en sécurité interviewé par la BBC.  Toutefois, la plupart de ces attaques consistent en une simple substitution de la page d'accueil d'un site et ne compromettent pas la sécurité des données.

Portrait différent, toutefois, au Pentagone (ministère étasunien de la Défense), qui essuie depuis plus de trois ans des attaques très sophistiquées contre ses systèmes informatiques.  C'est le magazine Foreign Affairs, sous la plume de James Adams, expert en sécurité à la National Security Agency (NSA), qui fait état d'attaques répétées consistant en vol de documents techniques, codes de chiffrement et autres données.  Appelée «Moonlight Maze» par les autorités, cette série d'attaque qualifiée de «massive» aurait commencé en mars 1998 et aurait perturbé à de nombreuses reprises les systèmes militaires, sans toutefois compromettre des données secrètes.  Adams révèle que l'an dernier, les diplomates américains ont logé une plainte formelle auprès du gouvernement russe car c'est de Russie que provenaient ces attaques.  Moscou s'est contentée de dire que les numéros de téléphones retracés par les techniciens étaient inactifs et a nié toute connaissance des attaques.

Enfin, on lisait du service de nouvelles Wired que la police fédérale américaine (FBI) est mécontente du manque de collaboration qu'elle obtient de la part de sociétés et entreprises victimes de cyberattaques.  Selon David Townsend, membre du groupe de travail sur la technologie du FBI, les dirigeants d'entreprises préfèrent ne pas donner trop de détails aux forces policières car ils craignent que si les attaques sont publicisées, l'image des entreprises en souffrira.

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  Errata
Dans notre chronique précédente, nous vous parlions du nouveau service d'hébergement gratuit CyberQuébec.Com et écrivions qu'il s'agissait d'une première au Québec. 
CiteGlobe
Eh bien nous étions dans l'erreur.  M.  Simon Thibodeau, administrateur chez CitéGlobe Inc. de Montréal, nous souligne aimablement que cette entreprise offre un service d'hébergement gratuit avec nom de domaine depuis juillet 1999.  En outre, CitéGlobe offre 100 Mo d'espace disque, des comptes de courriel en POP, un répertoire cgi-bin pour les applications, FrontPage 2000, les extensions en php, et bientôt le service de bases de données MySQL.  Nos excuses à CitéGlobe et à nos lecteurs/lectrices pour cette erreur.

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  Beau détour
Cette semaine, un portail photographique brésilien, FotoPro, dont nous vous suggérons fortement la section galeries.  Un regard inédit sur la photographie au Brésil.

Et sur ce, nous vous souhaitons à tous et toutes une excellente semaine.

Site personnel de Jean-Pierre Cloutier

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