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Les Chroniques de Cybérie
Cette semaine

© Les Éditions Cybérie inc.

Le 25 juillet1997.

Salutations à tous les Cybériens et Cybériennes!

Cette Chronique n'est optimisée ni pour Netscape, ni pour Internet Explorer, elle l'est pour ses lecteurs et lectrices.

Cette semaine...
48 heures d'enfer
Rendement des fournisseurs d'accès
Ventes de logiciels en hausse
Dossier publicité
Les États généraux de l'Internet
Vers une plus grande normalisation
Les mots pour le dire
Doublage de l'Hors Champ
Lectures rapides
Mini-forums d'échange
Beau détour
12/18

48 heures d'enfer
Drôle de retour de vacances pour constater que le réseau a été mis à rude épreuve les 16 et 17 juillet, mais qu'il a finalement traversé cette mauvaise passe sans trop de mal comme nous l'apprenait Inter@ctive Week.  Le tout commence le 16 en matinée quand WorldCom, responsable du Metropolitan Access Exchange West (centrale d'échange et de transit de données pour tout l'ouest des États-Unis) se voit privée d'alimentation en électricité.  Le coupable : un simple disjoncteur.  En après-midi, rebelote chez WorldCom alors qu'une excavatrice a accidentellement mis hors service un faisceau de fibres optiques de WorldCom reliant Los Angeles à Las Vegas.  Du coup, sur toute la côte ouest américaine, on a senti des perturbations qui se sont évidemment répercutées sur l'ensemble du réseau et qui ont perduré pendant environ quatre heures, privant ainsi nombre de grandes entreprises de leur accès au réseau.  Tout ça pour une fosse septique, ce qui aurait fait dire à Mafalda qu'on sacrifiait l'important à l'urgent.

Mais le coup le plus dur a été essuyé le lendemain à la suite d'une erreur humaine chez InterNIC, entreprise collaborative menée par la National Science Foundation, AT&T et Network Solutions Inc. et dont une des fonctions est le maintien des adresses de serveurs.  InterNIC tient à jour l'ensemble des adresses des serveurs Internet qui sont transmises quotidiennement à douze serveurs principaux.  Pour pouvoir transmettre vos requêtes de pages Web ou votre courrier électronique au bon serveur destinataire, votre fournisseur local puise les mises à jour sur l'un ou l'autre de ces douze serveurs d'adresses, et les conserve localement en antémémoire pendant un certain temps avant de les remettre à jour.  Le chargement d'adresses erronées sur ces douze serveurs a fait en sorte que plus du tiers des pages Web et des adresses de courrier électronique (surtout des domaines .net et .com) sur le réseau ont été inaccessibles pendant plusieurs heures, les requêtes des utilisateurs ne sachant plus vers quel serveur pointer.  Comme le souligne News.Com, bien que le problème n'ait duré que quatre heures chez InterNIC, il s'est prolongé plus longtemps par effet de cascade chez bien des fournisseurs d'accès en raison des fichiers corrompus qui persistaient en antémémoire. Haut de la page


Rendement des fournisseurs d'accès
Malgré tout, le rendement des fournisseurs d'accès aux États-Unis s'améliore si on en croit une étude de Inverse Network Technology le taux d'échec de connexion (call failure rate) était au mois de juin de 12,6 % aux États-Unis.  Sérieux problème?  Pas du tout, au contraire il s'agit d'une amélioration importante, il était de 22,4 % en mars.  Chez America Online, il est de 34,7 %.  Horrible?  Pas vraiment, il était de 80 % en janvier.  Mais tout dépend de la région où on habite.  Les résidants de Santa Barbara (Californie) ont le meilleur service avec un taux moyen d'échec de connexion de 3,3 %.  En revanche, les habitants de Phoenix (Arizona) doivent composer avec un taux de 16,5 %.

Inverse Network Technology publie aussi des études sur le rendement du courrier électronique.  Selon les premiers résultats, la plupart des messages (91 %) arrivent à destination en moins de cinq minutes, et ce même durant les heures de pointe.  Cinq pour cent des messages parviennent aux destinataires en 30 minutes ou moins, 1 % en une heure ou moins, et 3 % peuvent prendre jusqu'à 12 heures.

La méthodologie des deux études est décrite sur le site de Inverse Network Technology. Haut de la page


Ventes de logiciels en hausse
Continuons dans les chiffres.  Selon une étude menée par The NPD Group, les ventes de logiciels auraient connu depuis un an une hausse de 6 % aux États-Unis.  C'est 27 % des ménages possédant un ordinateur qui auraient effectué des achats de logiciels, le tiers de ces derniers s'inscrivant dans les catégories «productivité» et «divertissement».  Microsoft continue de dominer dans la catégorie des systèmes d'exploitation et outils de développement de logiciels avec 87 % du marché.  Le prix demeure le facteur de décision le plus important dans l'achat d'un logiciel (16 %), suivi des expériences avec une version antérieure d'un logiciel (11,4 %) et des recommandations de personnes de l'entourage (9,5 %).  Autres données intéressantes sur le profil des acheteurs de logiciels : 42 % des personnes possédant un ordinateur personnel depuis moins de six mois ont acheté au moins un logiciel pour suppléer aux trousses fournies avec leur ordinateur; les propriétaires de lecteurs cédérom sont six fois plus susceptibles que la moyenne des utilisateurs d'ordinateurs d'acheter un logiciel; les propriétaires de modems trois fois plus susceptibles de faire cet achat; les personnes branchées à un service en ligne, deux fois plus que la moyenne. Haut de la page


Dossier publicité
Selon l'agence de presse Reuters, la publicité sur le Web connaîtra une forte hausse en 1997 par rapport à l'année précédente.  Citant une étude du Electronic Advertising & Marketplace Report, Reuters souligne que pour les six premiers mois de cette année, les dépenses publicitaires sur le Web ont atteint 217,3 millions de dollars, une hausse de 256,2 % par rapport à la période correspondante en 1996.  Si les fluctuations saisonnières constatées l'an dernier se répètent, le troisième trimestre que nous venons d'entamer, serait marqué par une baisse des dépenses publicitaires sur le Web, alors que les trois derniers mois de l'année se caractériseraient par une hausse sensible à l'approche de la saison des fêtes.

Par contre, avouons-le, trop c'est trop.  Certains panneaux publicitaires commencent sérieusement à cacher le paysage sur les inforoutes, sinon la signalisation routière elle-même.  Prenons l'exemple du mégarépertoire de téléchargement Jumbo (vous n'êtes pas tenu de vérifier ce qui suit, mais si le coeur vous en dit...).  Les logiciels proposés chez Jumbo sont répartis, depuis l'écran d'accueil, en une douzaine de catégories (affaires, jeux, conception logicielle, etc.).  Jumbo propose maintenant à ses annonceurs non plus seulement un bandeau publicitaire, mais bien une publicité plein écran de deux «pages».  Une fois que vous avez sélectionné la catégorie de votre choix, ce n'est qu'après le téléchargement incontournable de cette publicité pour le moins tonitruante et plein écran que vous aurez accès au menu de la catégorie sélectionnée.  Évidemment, les pages suivantes sont truffées de bandeaux de format conventionnel.  Et comme s'il fallait s'en vanter, le v.-p. marketing de Jumbo clame «Jusqu'à maintenant, c'est ce qui s'approche le plus de la télévision!».

Rentable pour Jumbo?  Certes.  On lisait cette semaine dans le Internet Advertising Report (IAR) que le coût par mille impressions (CPM) de ces publicités plein écran était de 75 $ comparativement à 10 $ pour un bandeau conventionnel.  Par contre on peut s'interroger sur l'effet à long terme de cette saturation publicitaire sur la clientèle.  Faut-il rappeler que depuis l'arrivée de l'Internet et du Web, la télévision connaît une vague de désaffection constante et sans précédent.  De plus, selon les responsables de Jumbo, de 20 à 30 % des gens consultent un des liens de l'écran publicitaire, ce qui nous fait conclure qu'il y a irritation ou indifférence au message dans 70 à 80 % des cas. Haut de la page


Les États généraux de l'Internet
Comme nous vous en avions déjà parlé, c'était du 24 au 27 juin que se déroulait en Malaisie la conférence annuelle INET, souvent décrite comme les États généraux du réseau des réseaux.  Les actes de la conférence sont maintenant disponibles sur le site de l'Internet Society (ISOC).

Le président du chapitre français de l'ISOC, Bruno Oudet, a assisté à INET'97, et il a eu l'excellente idée de mettre en ligne une page sur quelques-uns des points saillants qu'il a retenus de la rencontre de Kuala Lumpur.  Non point un compte rendu exhaustif, mais des réflexions opportunes sur les grandes questions qui hantent le réseau, y compris le discours de Glenn Ricart sur les 10 menaces qui pèsent sur l'Internet.  Le compte rendu de Oudet vaut la consultation, si ce n'est que pour cette section où sont résumées les questions essentielles à cette étape-ci du développement de l'Internet.

Perspective, car il en faut toujours une, la société i-cor MEDIA, filiale de Quebecor Multimédia a remis en ligne la couverture de la conférence INET'96 qui s'était déroulée l'an dernier à Montréal du 25 au 29 juin.  On y trouvera des reportages et articles sur les huit grands thèmes de la conférence, des entrevues et entretiens réalisés sur place, ainsi que quelques textes sur le Marché international multimédia (MIM) qui se tenait concurremment. Haut de la page


Vers une plus grande normalisation
Le Consortium World Wide Web (W3C) publiait au début du mois son premier document de travail sur une version 4.0 de l'HTML, ce code de mise en forme des pages Web.  Cette version 4.0 suivra la recommandation de version 3.2, nom de code Wilbur, mise de l'avant en janvier de cette année.  On a souvent déploré le manque de normes en matière de codes HTML, surtout l'introduction de fonctions qui ne sont exploitables que sur l'une ou l'autre des deux principales plate-formes, soit Netscape Navigator ou Microsoft Explorer.  Concurrence oblige, les deux fabricants tentaient, chacun de son côté, de séduire la clientèle en introduisant dans ses fureteurs des fonctions certes intéressantes, mais qui créaient de sérieux maux de tête aux concepteurs.  Fallait-il optimiser un site pour Netscape ou Explorer?  Voilà que la guerre entre les deux géants semble finie, du moins sur le front des codes HTML.  Les deux fabricants ont consenti à s'engager au respect des recommandations du W3C et à n'introduire que les codes recommandés par ce dernier.  Ce «traité de paix», c'est le Web Interoperability Pledge, l'engagement à attendre que les groupes de travail chargés de faire évoluer les codes HTML recommandent (conférant ainsi un statut de quasi-norme) de nouvelles fonctionnalités, ce qui devrait assurer une interopérabilité plus grande des sites Web que vous consultez.  Il reste à voir si les deux grands respecteront leur engagement. Haut de la page


Les mots pour le dire
Les «pages personnelles» sont rapidement devenues des «sites personnels», question de refléter l'abondance du contenu qu'on pouvait trouver à certaines de ces adresses.  La nuance est subtile, mais ce n'est pas là la caractéristique principale de l'interface langagière.

Le directeur d'une agence de marketing de Manhattan, Kyle Shannon, propose une nouvelle toponymie de l'espace Web car, livrait-il au Nando.net, la nomenclature actuelle est surannée, ancrée dans des concepts qui conviennent davantage aux médias de l'écrit, télévisuels et du multimédia.  Shannon propose donc de remplacer le mot «site» par le mot «lieu» ou «espace» (de l'anglais venue).  Il ne faudrait plus parler de «page d'accueil», mais bien de «passerelle».  Le mot «usager» est lui aussi banni, remplacé par le mot «participant».  Shannon croit que les expressions empruntées à d'autres médias portent un lourd héritage de significations inopportunes au médium qu'est le Web.  Il ne faudrait plus parler de pages car elles évoquent un concept statique et linéaire, il faudrait parler d'écrans.  La notion de page d'accueil implique qu'il n'y aurait qu'un seul point d'entrée aux écrans intérieurs d'un espace Web, c'est pourquoi Shannon propose passerelle.  Quant à l'usager, le mot est dérivé du vocabulaire du matériel, du logiciel et du cédérom et est trop passif et impersonnel, d'où la proposition de participant.  L'entreprise de Shannon, Agency.Com, a déjà persuadé certains de ses clients d'adopter la nouvelle terminologie, dont American Express, British Airways, et la compagnie d'assurance Metropolitan.  Verra-t-on un mouvement semblable en français? Haut de la page


Doublage de l'Hors Champ
En fait non, ce n'est pas du doublage et on s'en voudrait de le croire.  Parlons plutôt d'un pendant anglophone pour le périodique électronique Hors Champ consacré au cinéma.  Le nouveau site porte le nom de Offscreen -- son équipe travaille en parallèle avec celle de Hors Champ -- et se veut tout sauf une simple traduction.  Dans l'éditorial de ce premier numéro, on annonce les couleurs : même passion, même philosophie, même irrévérence que Hors Champ, mais le tout dans la langue de Shakespeare et de John Huston.  C'est sans doute la première fois qu'un site Web québécois aille de telle manière concurrencer les produits anglophones, surtout dans le domaine du cinéma où ils sont très nombreux, et on espère y voir un signe du dynamisme et de l'ouverture des éditeurs sur Web d'ici.  Annonce d'une nouvelle tendance?  Aurait-on à ce point saturé notre marché qu'il faille se tourner vers l'exportation linguistique?  Encore difficile à dire et plus difficile à prétendre.  Mais le produit est bon, sérieux, adapté, et tout comme dans Hors Champ, on y parle en connaissance du septième art.

Et justement, cri d'alarme dans Hors Champ sur l'enseignement du cinéma au Québec.  «Suicide Collectif» clame Joël Pomerleau dans un éditorial où il affirme que «En asservissant les lieux de pensée aux besoins du marché, on continue de reproduire un système établi, sans jamais l'interroger.»  Pertinente réflexion, et ce à maints égards selon la lecture qu'on en fait, je croyais presque que Pomerleau parlait du Web. Haut de la page


Lectures rapides
Disons plutôt lectures de vacances dont le retour a mis à rude épreuve notre discipline.  Notre éditorialiste favori s'interroge sur le «Pourquoi toujours courir?».  En effet, Laurent Laplante se demande à quoi rime la recherche effrénée de primeurs et nouveautés par les chroniqueurs Web/Internet.  Dans un texte un peu plus long qu'à l'habitude, et personne ne s'en plaindra, il parle des lunettes déformantes que constituent la nouveauté clinquante et la primeur, et il reproche aux chroniqueurs de ne pas aider le public à comprendre, de négliger les produits stabilisés et fiables.  C'est selon lui la conséquence de l'évolution des médias et des journalistes vers la spécialisation : «Chaque journaliste tient à prouver qu'il est dans le secret des dieux, alors qu'il devrait surtout vérifier si le grand public comprend ce qui se passe.»  Il dénonce aussi le peu de cas que les chroniqueurs spécialisés font de la clientèle des 55 ans et plus, totalement négligée par les hordes de pseudo-vulgarisateurs et il ajoute : «Comme les plus de 55 ans représentent déjà plus de 20 % du Québec, Internet a intérêt à savoir qu'ils existent.»

Pour sa part, Tedd Oppenheimer signe dans le numéro de juillet de la revue Atlantic Monthly un article intitulé The Computer Delusion où il remet sérieusement en cause les efforts consentis à l'informatisation et au branchement des établissements scolaires, surtout quand ces derniers se font aux dépens d'autres disciplines comme la musique, les arts, voire l'éducation physique.  Il rappelle qu'en 1922, Thomas Edison avait prédit que le cinéma allait remplacer les manuels scolaires, qu'en 1945 William Levenson croyait que les postes radio portatifs allaient suppléer aux tableaux et aux craies, qu'un peu plus tard B.F. Skinner misait gros sur ce qu'il appelait les «machines à enseigner».  Pour Oppenheimer, il faudrait accueillir avec scepticisme les déclarations des dirigeants politiques américains concernant le rôle prépondérant des nouvelles technologies dans l'éducation, et surtout contester les sommes incroyables qu'ils entendent affecter à l'informatisation des écoles (de 40 à 100 milliards de dollars d'ici cinq ans).

Dans le toujours excellent Computer Mediated Communications, on traite dans le dossier «Digital Journalism» du numéro de juillet du journalisme à l'ère numérique et des rapports entre la presse et le Web.  Flora J. Garcia propose l'idée que le Web, malgré toutes ses différences et ses spécificités, serait en passe de devenir, après l'imprimé, la radio et la télévision, le «quatrième médium».  À lire aussi dans le CMC de juillet, l'article de I-chin Chang sur les journalistes des médias traditionnels (dont cinq récipiendaires récents du Prix Pulitzer) qui utilisent l'Internet comme outil de recherche. Haut de la page


Mini-forums d'échange
Voici qui pourrait intéresser ceux et celles qui ont toujours souhaité créer leur propre forum d'échange par courrier électronique.  À partir de certaines fonctionnalités des logiciels de courrier électronique (filtrage, redirection, etc.), nous avons élaboré MiniFo, un modèle de création et d'exploitation de forums d'échanges, qui convient aux petits groupes qui veulent se constituer leur propre forum.  MiniFo exige la participation active d'un responsable du forum qui devient en quelque sorte la plaque tournante des échanges entre membres inscrits au forum.  En revanche, une fois installé, le modèle est souple d'utilisation et reproductible à volonté.  Sans concurrencer un véritable forum géré depuis un serveur (type Listserv comme l'utilise l'Université Laval pour ses listes), le modèle s'avérera utile pour les petits groupes de trois à 30 personnes, pour des forums à thèmes ponctuels, pour des échanges entre groupes de chercheurs, étudiants, équipes de travail, groupes d'amis, familles dispersées, etc.  MiniFo a été élaboré en fonction du logiciel Eudora disponible sans frais en version française, mais peut cependant être adapté à tout logiciel de courrier électronique doté de fonctions de filtrage et de redirection automatiques.  Parlant d'Eudora, il existe une ressource fort intéressante sur la configuration avancée disponible sur le site de l'URFIST de Strasbourg. Haut de la page


Beau détour
À Namur en Belgique, cette semaine, au Musée Félicien Rops.  Site fort bien fait sur cet artiste belge (1833-1898), grand épistolaire et amateur de roses, qui raconte le siècle dernier par le biais de la gravure, du dessin et de la peinture. Haut de la page


12/18
Il y a 12 mois, dans la Chronique du 26 juillet 1996, nous vous avons signalé la tenue de la conférence internationale de l'Association des Centres de recherche sur l'Utilisation Urbaine du Sous-sol, qui se déroulera à Montréal du 29 septembre au 3 octobre prochains, sous le thème Espace souterrain : villes intérieures de demain.  Il sera question, entre autres, de conditions d'émergence, de sécurité, du SWISSMETRO et du 21e siècle.

Il y a 18 mois, dans la Chronique du 23 février 1996, nous remportions le Web d'Or dans la catégorie Nouvelles/Médias.  L'entretien avec le webmaster publié sur le site des Webs d'Or en a fait sourire plus d'une.  Il avait aussi été question du journal washingtonien Roll Call où vous pourrez lire cette semaine, dans la section «Politics», l'article intitulé «Timeline: The Making of a Coup» sur la «rébellion» menée contre Newt Gingrich par une poignée de sénateurs républicains.

Bonne semaine à tous et à toutes,
Jean-Pierre Cloutier
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